WORKAHOLISM: LA DÉPENDANCE AU TRAVAIL MENACE LES ENTREPRISES

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Workaholisme: la dépendance au travail menace les entreprises


Le syndrome d'ébriété au travail ou de dépendance au travail est une maladie neuropsychiatrique découverte en Amérique au début des années 1970.

Dans cet article, nous n'aborderons pas l'aspect médical, c'est-à-dire les mutations que cette maladie inflige à la personne malade, mais nous illustrerons les répercussions qu'elle peut avoir au sein de l'entreprise.

Au fil des ans, on a souvent confondu, peut-être par commodité, la différence entre un bourreau de travail et un travailleur souffrant d'une dépendance chronique au travail.

Quelle est la différence vue du point de vue des activités commerciales?

Le bourreau de travail, qui a des rôles managériaux, on peut le voir comme une personne responsable, fiable, ambitieuse et digne de confiance qui pilote son équipe pour atteindre les objectifs de l'entreprise ou les budgets confiés , à travers la construction d'un climat compétitif et satisfaisant dans lequel chaque participant au projet se sent inséré dans une chaîne motrice, dans le but commun de faire tourner le moteur au bon niveau pour atteindre l'objectif commun.

La collégialité des objectifs, les efforts et les gratifications sont la clé pour obtenir les meilleurs résultats en laissant, au leader, mais aussi à tous les sujets de l'équipe, le plaisir de s'engager et la reconnaissance des qualités des individus, chacun dans sa juste mesure.

La valorisation des efforts des individus et de l'équipe, à tous les niveaux, donne une sorte de protection au troupeau et une charge auto-régénérante pour les défis quotidiens.

Le leader qui anime le groupe, pour stimuler l'énergie de chacun, doit être inclusif, rassurant, sincère dans l'illustration des risques et des objectifs, mais surtout il doit se salir les mains en première ligne, dans la même tranchée et partageant des stratégies sur le terrain.

En cas d'atteinte des objectifs le groupe sera compact et plus fort, satisfait, gratifié, sûr du fait que l'union fait la force et que, égoïsme ou interne prévarications, sont délétères pour chacun des participants.

Si nous regardons plutôt le leader d'un groupe touché par la dépendance au travail, nous sommes face à une personne qui vit pour collecter de l'adrénaline avec laquelle nourrir sa journée.

Les objectifs de l'entreprise sont une excuse pour appliquer cette dépendance à votre vie, entraînant toute l'équipe dans un cyclone de stress constant.

Ceux qui vivent cette dépendance mobilisent une concurrence stérile, visant à augmenter le volume de travail de manière négative, mettant les salariés sous pression sans comprendre les limites et les besoins des personnes.

Il n'est pas capable de travailler en équipe car il vit l'activité de manière égocentrique, il se rapporte donc à ses collègues comme s'ils faisaient partie de son projet visant le résultat.

Les objectifs de l'entreprise sont un propulseur qui alimente la spirale de l'engagement, l'essence qui allume un moteur qui doit tourner au maximum et la composante humaine n'est pas considérée comme partie du match.

Les personnes souffrant de dépendance au travail ne peuvent pas se déconnecter, perdre le contact avec la vie réelle et s'attendre à ce que les employés travaillent selon leur schéma et leurs intérêts.

Met facilement ceux qui ne le suivent pas sous un mauvais jour, crée une zizanie pour augmenter la compétitivité mutuelle et ne parle pas à l'équipe.

Il ne conçoit pas ceux qui ne sont pas d'accord ou ceux qui ont une attitude plus équilibrée envers le travail, où chaque élément de leur vie doit avoir un poids pondéré.

Être dirigé par un sujet souffrant d'addiction au travail a pour effet négatif de travailler dans un environnement en tension constante, où la peur de se tromper réduit les résultats, où les risques de débordements du chef d'équipe sont à l'ordre du jour, avec des conséquences possibles sur le poste de travail.

La peur de se tromper ou d'être trahi par des collègues crée des courants internes, des factions plus ou moins proches du dirigeant, dont le but n'est plus la réalisation des affaires objectif mais celui de la survie de la relation de travail.

Les membres de l'équipe ont tendance à se replier dans des coquilles de protection, à faire ce qu'on leur dit de faire, même s'ils le jugent improductif ou même mal.

Ils ne s'exposent pas avec des idées ou des propositions pour ne pas s'exposer à des réactions non calculables, sachant combien un sujet touché par cette maladie peut être court - colérique, d'humeur hostile et prenant des risques pour se mettre sous un mauvais jour.

Un environnement comme celui décrit centré sur une personne qui croit courir une course seule, humilie le travail de chacun, parfois même des personnes, transformant la poussée proactive d'un équipe dans la passivité de travail, laissant chaque décision et conséquence au leader.

La spirale conduit la figure du haut à devoir s'occuper de tout, à ne plus avoir d'équipe sur laquelle s'appuyer, avec le resserrement de la charge de travail et la réduction des clarté dans les décisions et négligence de la qualité générale des résultats.

Une déconnexion est créée qui favorise le ressentiment entre le leader et l'équipe, un désintérêt général pour l'entreprise et son avenir, créant la construction de preuves pouvant défendre la positions individuelles en attendant la catastrophe imminente.

En fait, les journées de travail ne visent pas à améliorer les performances de l'entreprise, mais à attendre le jour de l'échec de leur équipe, avec l'espoir que leur comportement soit minimal et obséquieux peut sauver son emploi.

Si l'on part d'un paradigme maintes fois utilisé, mais bien réel, qui dit que les succès des entreprises sont constitués de personnes dirigées par des leaders capables, il faut donc surveiller les comportements excessifs à la fois laxistes et hyper travail.

Traduction automatique. Nous nous excusons pour toute inexactitude. Article original en italien.



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