LE SYNDROME DE NIMBY N’EST PAS BON POUR L’ECONOMIE CIRCULAIRE

Environnement
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Comment aider la population à prendre des décisions pour le bien commun

Le syndrome NIMBY, de l'acronyme anglais "not in my yard" représente la protestation d'une collectivité envers ces projets, d'intérêt national, qui prévoient l'installation sur leur territoire de carrières, autoroutes, raffineries, usines de valorisation énergétique, décharges agglomérations zones industrielles ou dépôts de substances dangereuses.

C'est un phénomène transversal dans toute l'Europe, qui surgit spontanément comme une action de défense envers un territoire ou envers la population elle-même, qui voit, à travers les informations en sa possession, un danger potentiel à accepter le projet.

L'économie circulaire est souvent victime du syndrome de Nimby, notamment lorsqu'il s'agit de construire une usine de valorisation énergétique des déchets ou d'accepter une décharge ou un stockage de déchets, et c'est un problème évident dans les zones où des structures sont nécessaires pour compléter la circularité des produits. et la production, comme celles mentionnées.

Avec les systèmes végétaux disponibles, le phénomène du zéro déchet est une utopie et il faut savoir que la circularité peut être atteinte en intégrant diverses formes de recyclage qui ne s'arrêtent pas à la collecte sélective.

Dans certains territoires, notamment en Europe du Sud, l'absence d'installations de valorisation énergétique des déchets à la pointe de la technologie, du fait de l'opposition des populations, entraîne un mouvement des déchets vers des zones de traitement (du sud vers le nord de l'Italie par exemple), avec des coûts sur les mêmes citoyens contre et un impact environnemental élevé.

Il faut garder à l'esprit que le syndrome découle aussi d'une implication insuffisante de la population par les institutions politiques qui décident du projet, du manque de confiance que la base a envers leurs élus qui administrent les territoires sur lesquels l'opéra doit être installée.

Les possibles phénomènes de corruption, qui affectent la vérification technique du projet du point de vue de la durabilité environnementale et sociale, font également partie de la méfiance possible envers les institutions locales ou nationales.

Il faut investir avant tout dans la culture de la circularité des déchets, aider les citoyens à mieux comprendre les propositions qui pourraient affecter leurs territoires et, de la part de ceux qui gèrent politiquement les territoires concernés, il faut mettre à disposition toutes les informations cela permet aux gens de comprendre que l'intérêt national ne se heurte pas à d'éventuelles baisses de protection de la santé ou à la déformation des habitudes de vie locales.

Selon les données fournies par le Nimby Forum, en 2016, il y avait des projets contestés impliquant des énergies renouvelables, telles que des centrales à biomasse, du compostage et des parcs éoliens, pour un total de 359 postes ouverts.

Il est facile d'imaginer comment ces oppositions sont désormais amplifiées aussi par le réseau, à travers lequel les participants à ces discussions n'ont pas toujours une préparation technique qualifiée pour soutenir le pour et le contre des travaux, avec le risque d'une exploitation toujours possible.

L'histoire récente nous apprend cependant que les grands projets d'économie circulaire, d'utilité nationale, doivent pouvoir être menés dans l'intérêt de tous, mais que la population a le droit d'être impliquée, a le droit de comprendre et a le droit de le droit de s'exprimer pour toute modification jugée nécessaire.

La démocratie c'est aussi ça.

Traduction automatique. Nous nous excusons pour toute inexactitude. Article original en italien.

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